Oui, je sais, il paraît qu’il y a des fours qui se nettoient tout seuls comme des grands (mais ça marche vraiment ?). Mais pas le mien. Pas que je sache en tous cas. Il faudrait peut-être que je regarde le mode d’emploi une fois 😉 .
Bref, un four, ça se salit et comme on le nettoie rarement à chaque fois directement, on recuit, ça sèche, ça durcit et après c’est la cata.
Les produits industriels, il ne faut pas se mentir, si tu laisses bien agir, ça marche du feu de Dieu. Mais l’odeur horrible sur le moment et SURTOUT les premières fois où tu rallumes ton four (genre limite ça te pique les yeux) te font bien te douter de la somme de cochonneries super néfastes tant pour notre santé que pour l’environnement (sans parler dans la super bombe sous pression qu’il faudra éliminer un jour ou l’autre).
De nouveau, ces différentes constatations m’ont fait me demander s’il n’existait pas une alternative plus clean. Et oui, elle existe ! Je l’utilise depuis un bon bout de temps et elle fonctionne bien :
Mélanger du bicarbonate de soude et de l’eau jusqu’à obtenir une pâte plutôt coulante. Prendre la pâte à la main et l’étaler sur l’entier de la surface du four à nettoyer. Humidier un peu à nouveau dans le four si nécessaire (pour la partie du fond. Pour les côtés non, il faut que la pâte adhère bien sinon elle ne va pas agir correctement). J’aime me dire à chaque fois que c’est comme si je faisais un masque de beauté à mon four 😛 !
Une fois le « masque » terminé, fermer votre four et laisser agir toute une nuit. Le lendemain, prenez une éponge abrasive ou une brosse et… frottez ! Il n’y a pas de miracle sur ce coup, la saleté ne partira pas aussi facilement qu’avec la mousse super cracra ! Mais en frottant, votre four redeviendra tout beau. Ensuite rincez plusieurs fois en utilisant un chiffon mouillé et séchez. Lors des premières utilisations du four, vous pourrez constater la présence de résidus blancs au fond du four. Il s’agit du bicarbonate que vous n’avez pas réussi à retirer. Un petit coup de chiffon et c’est réglé 🙂 .
Voili voilou, vous m’en redonnerez des nouvelles !